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Jaron Scribner (il)

Alberta et Saskatchewan

Jaron Scribner aspire à représenter les Prairies au sein du Conseil consultatif de la jeunesse de CIC. Il a grandi sur une fermette en bordure de Coronation (Alberta), où son père lui a appris les rudiments de la chasse. Il a aussi passé du temps à Maple Creek (Saskatchewan), d’où vient sa famille, avant de s’établir à Lethbridge (Alberta) pour ses études. Détenteur d’un diplôme dans un programme de gestion conforme des ressources naturelles, Jaron est inscrit au baccalauréat en gestion des écosystèmes à Lethbridge College. Il travaillera cet été (2024) à CIC comme technicien en conservation en Alberta et ambitionne de gagner sa vie un jour comme biologiste à CIC.

En dehors du travail et des études, Jaron aime chasser la sauvagine, pêcher sur la glace et assister aux réunions de la section locale de CIC. Il s’est d’ailleurs impliqué avec la section étudiante de CIC à Lethbridge College, dont il a été le trésorier élu durant deux ans avant d’en prendre la présidence. Il a aussi siégé au Conseil provincial de CIC en Alberta. Ces expériences lui ont révélé toute l’importance de l’engagement des jeunes et du bénévolat. En outre, il participe à de nombreuses activités parascolaires : baseball, hockey, curling, club 4-H, etc.

Jaron entend mettre à profit ses deux années au conseil pour parfaire ses connaissances et partager ses expériences pour inciter les jeunes à s’investir davantage auprès de CIC et contribuer à faire naître une nouvelle génération de conservationnistes.

Joyce Ji (elle) 

Manitoba 

Joyce Ji entamera sa quatrième année au baccalauréat (coop., spécialisé) en sciences de l’environnement à l’Université du Manitoba, avec majeure en évaluations environnementales et mineure en études autochtones. Désirant plus que tout vivre sa vie dans un esprit de réconciliation et de sensibilisation, elle se fait fort de faire résonner les voix marginalisées chaque fois que c’est possible. 

Certaines des priorités de Joyce dans son travail sont la viabilité, l’accessibilité et l’inclusion, et c’est dans leur esprit qu’elle s’efforce de peaufiner son leadership. Au fil des ans, Joyce a occupé de nombreuses fonctions à CIC, dont celles de bénévole depuis la 10e année (secondaire 4) et de guide interprète en nature. Elle a aussi fait partie de la cohorte initiale du Conseil consultatif de la jeunesse. Joyce s’est beaucoup investie dans la vie étudiante à l’Université du Manitoba comme co-présidente de la Society of Earth Science and Environmental Students, co-directrice responsable des bénévoles et du recrutement des University of Manitoba Wetlanders, et membre étudiante de la Manitoba Environmental Industries Association, de la Society of Wetland Scientists et de l’International Association for Impact Assessment. Au cours des prochaines années, Joyce entend continuer son action au sein du Conseil consultatif de la jeunesse. Elle est aussi emballée de co-présider les UMWetlanders. 

Anna MacKinnon (elle) 

Nouveau-Brunswick 

Anna MacKinnon vient de Sackville (N.-B.), première agglomération nord-américaine à être reconnue comme « ville des zones humides » au titre de la Convention de Ramsar sur les zones humides en reconnaissance de ses efforts exceptionnels pour protéger les milieux humides urbains. Ce lieu a beaucoup influencé son parcours de vie, croit-elle. Au début de son secondaire, Anna s’est inscrite comme bénévole auprès du Tantramar Wetlands Centre. À raison de deux jours par mois au départ, son engagement est passé à deux jours par semaine, puis elle a fini par faire du bénévolat au centre durant tout son secondaire. C’est là que son amour de la conservation et de l’éducation populaire a germé. Elle est ensuite devenue guide-interprète au Tantramar Visitor Information Centre, où elle était toujours heureuse de s’impliquer dans les milieux humides locaux. 

Anna étudie actuellement au Maritime College of Forest Technology dans le programme de technologies forestières et dans celui de technologies de la faune aquatique et terrestre. Son ambition est de gagner sa vie dans la conservation comme forestière. Elle a hâte de collaborer avec ses acolytes du Conseil consultatif de la jeunesse qui partagent ses intérêts. C’est une jeune femme à la curiosité insatiable, surtout pour les choses qui la passionnent. Quand Anna n’est ni à l’école ni dans un milieu humide, elle aime le jeu Mario Kart, le patin à roues alignées, la randonnée et le canot. 

Rae Landriau (iel)

Ontario 

Rae Landriau complète une maîtrise en géographie physique à l’Université Carleton. Sa recherche porte sur les anciens sites de résidus de forage dans l’ouest de l’Arctique canadien. Le projet et ses objectifs ont été établis en collaboration avec l’Inuvialuit Regional Corporation, l’Inuvialuit Land Administration et PermafrostNet CRSNG. Un des volets clés de son travail concerne la formation de surveillants environnementaux pour garantir que les collectivités disposent des savoir-faire requis pour prolonger les initiatives en cours. Toujours heureux de partager son amour de la science et de la nature, Rae a créé le Create Change Collective, une organisation de la base dédiée à rendre l’éducation écologique plus accessible. Depuis deux ans, Rae a lancé, dirigé et développé plus de 25 projets pour engager la collectivité. Ses efforts ont notamment porté sur la conclusion de partenariats avec les organisations de proximité, pancanadienne ou mondiales pour démocratiser l’éducation écologique.

Keira Grady (elle) 

Nouvelle-Écosse 

Keira vient d’Halifax et étudie au baccalauréat en géosciences environnementales à l’Université Acadia. Elle s’est donné la mission de défendre la conservation et la viabilité, en plus de donner généreusement son temps à des initiatives en faveur de l’usage d’énergie propre. Au nombre de ses engagements citoyens et écologiques figurent le programme CCC Flex de la Fédération canadienne de la faune, la première cohorte du Nova Scotia Youth Climate Council et un stage au ministère des Ressources naturelles et renouvelables de la Nouvelle-Écosse l’été dernier. Keira est emballée de se joindre au Conseil consultatif de la jeunesse de CIC pour continuer d’approfondir ses connaissances, mais aussi ses liens avec les milieux où elle vit et travaille. « Je suis très heureuse d’apporter mes talents, mon enthousiasme et mon point de vue d’Afro-Néo-Écossaise au Conseil consultatif de la jeunesse. Je sais que je vais apprendre des tas de choses au sein de Canards Illimités Canada et participer aux efforts du conseil pour conserver ou remettre en état des milieux humides et des habitats. » 

Camille Desrosiers (elle) 

Québec

Camille a grandi dans une famille qui partait chaque fin de semaine estivale faire du camping et la randonnée pédestre dans un nouveau coin du Québec. Ces moments ont forgé son amour pour la forêt et les espaces naturels, qu’elle associe à un sentiment de plénitude et de sérénité. Cet amour des espaces verts s’est transposé dans son parcours universitaire et l’a menée à terminer une maîtrise en sciences biologiques à l’Université de Montréal sur la décontamination des sols à l’aide de végétaux, ce qu’on appelle la phytoremédiation. Les valeurs qui la guident au quotidien incluent la protection de l’environnement, l’insertion sociale des groupes marginalisés et l’économie sociale.

Justin Langan (il) 

Manitoba 

Originaire de la petite localité de Swan River, au Manitoba, Justin Lagan est un leader jeunesse autochtone depuis qu’il a 15 ans. Aujourd’hui âgé de 25 ans, il siège à de nombreux comités locaux, provinciaux et nationaux. Le Métis Youth Indspire Award 2021, le Terry Fox Humanitarian Award, l’inscription au Top 25 Environmentalists Under 25 et le National Champion of Mental Health for Youth comptent parmi ses nombreuses distinctions. En quatrième année de ses études (majeure en science politique) à l’Université du Manitoba, il prévoit de poursuivre en droit sur le thème des droits de la personne. Son but est de devenir avocat et politicien pour défendre les droits des Canadiens sur la scène mondiale.

Fares Mandour (il) 

Alberta 

Fares Mandour en est à la première année de sa maîtrise en sciences des ressources terrestres et aquatiques à l’Université de l’Alberta. Sa recherche porte sur les effets du dégel du pergélisol et des feux de forêt sur la qualité de l’eau des collectivités nordiques, notamment en ce qui concerne le mercure et le méthylmercure. Les régions sous sa loupe sont le bassin versant de la rivière Hay dans le nord-ouest de l’Alberta et dans le sud-ouest des T.N.-O., ainsi que la région du Dehcho (Mackenzie) dans le sud-ouest des T.N.-O. Il passe donc beaucoup de temps dans le nord. Dans ses temps libres, Fares aime la randonnée, les jeux vidéo et la découverte de nouveaux restaurants à Edmonton avec ses amis. 

Arianna Johnstone (elle) 

Colombie-Britannique et Alberta 

Arianna Johnstone est une femme crie et métisse cisgenre. Elle détient un baccalauréat en sciences avec double majeure en biologie et en sciences environnementales de l’Université de Colombie-Britannique (campus d’Okanagan). Elle est très passionnée par l’amélioration holistique des milieux aquatiques et marins, y compris la santé des gens qui habitent ces milieux ou leur proximité. Son ambition est d’aider et d’inspirer davantage de voix autochtones jeunesse à s’engager dans la conservation.

Nicholas Ypelaar (il) 

Ontario 

Né et élevé en banlieue de Toronto, Nicholas vient de décrocher son baccalauréat en sciences de l’Université de Toronto avec double majeure en biologie de la conservation et en histoire. Naturaliste et passionné de camping depuis toujours, il a choisi une carrière en biologie après un passage de huit saisons extrêmement formatrices comme naturaliste et guide patrimonial au parc provincial Awenda, dans le sud-ouest ontarien. 

Comme membre du Conseil consultatif de la jeunesse de CIC pour 2024-2026, Nick se réjouit de pouvoir combiner ses passions pour l’apprentissage et pour l’éducation aux sciences afin de sensibiliser la population à l’importance des milieux humides, de leur remise en état et des pratiques de conservation. Quand il ne s’adonne pas à l’ornithologie, il aime photographier la faune, lire, observer les étoiles, visiter des musées et des lieux historiques, ainsi qu’écouter une variété éclectique de styles musicaux, le volume réglé sur onze.